Faire appel à un syndic de copropriété en Belgique : les principaux avantages

meilleure expérience assurée

En Belgique, le marché de l’immobilier connaît un franc succès depuis ces dernières décennies. La place encourageant la vie en communauté attire les investisseurs pour construire des logements en copropriété, un style de vie qui a actuellement le vent en poupe.

Répondant aux besoins de logements des économes, ce type de bien requiert toutefois une règle de gestion spéciale. Pour tout bien immobilier en copropriété, la loi requiert qu’un syndic soit chargé de la gestion des parties communes de l’immeuble. Focus sur les avantages de laisser cette tâche à un professionnel.

Les rôles et tâches d’un syndic de copropriété

Toute copropriété doit disposer d’un syndic choisi lors d’une assemblée générale, qui peut être un professionnel de l’immobilier ou un copropriétaire. Par syndic de copropriété, il faut entendre toute personne, physique ou morale, dont la mission est d’optimiser la gestion d’un immeuble sur le plan administratif, financier et technique.

En outre, cette entité s’occupe : des travaux de rénovation et d’entretien, des recouvrements des charges, de la comptabilité de la copropriété, de la rédaction des comptes-rendus lors des assemblées.

Par ailleurs, faire appel à un syndic de copropriété Belgique est intéressant dans la mesure où il s’occupe de toutes les tâches faramineuses et chronophages dont les copropriétaires veulent absolument s’en défaire. En tant qu’organisateur et médiateur, il lui incombe de convoquer une assemblée générale chaque année où les décisions pour le bon fonctionnement de l’immeuble sont prises à l’unanimité.

Un mandataire pour les législations et les réglementations

Le métier de syndic de copropriété est régi par toute une série de mesures visant à encadrer l’exercice de cette profession. Par conséquent, toute personne exerçant cette fonction est tenue de respecter le code déontologique des agents immobiliers.

tâches d’un syndic de copropriété

L’aspect législatif permet aux copropriétaires d’obtenir plus de sécurité dans leur immeuble, et donc choisir un syndic non reconnu (bénévole ou rémunéré) peut être une décision risquée qui peut coûter très cher.

Pour exercer ses missions, le syndic professionnel doit :

  • Posséder une carte professionnelle,
  • Ouvrir un compte bancaire ou postal séparé au nom de la copropriété (sauf vote contraire de l’assemblée générale des copropriétaires). Si ces derniers ont choisi d’élire l’un des leurs, la personne désignée doit obligatoirement ouvrir un compte bancaire séparé au nom du syndicat des copropriétaires.
  • Avoir contracté une assurance responsabilité civile professionnelle,
  • Disposer d’une garantie financière suffisante pour couvrir les fonds de tous les syndicats gérés.

Une meilleure expérience assurée

La gestion d’un immeuble n’a rien de simple. Entre la répartition des budgets, les copropriétaires mauvais payeurs, les imprévus nécessitant la prise de décision immédiate… Il faut avoir certains prérequis avant de pouvoir maîtriser un tel degré de professionnalisme.

Tout syndic doit en effet disposer de connaissances en droit, en comptabilité et en techniques du bâtiment. Il s’agit là d’une expertise plus que nécessaire pour pouvoir gérer correctement la tenue d’une copropriété.

Aussi, confier cette responsabilité en externe est un excellent moyen d’éviter des malentendus entre les copropriétaires. Personne n’est lésé ou avantager et savoir l’affaire entre des mains expertes est un réel réconfort.

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